La première étincelle.
Que dissimules-tu sous ta cuirasse ?
Caches-tu des cicatrices ?
De surprenant ou d’horribles souvenirs,
Es-tu toujours l’amour complice ?
Préfères-tu souffrir encore?
L’amour est si barbare par moment.
J’ai été blessé tout comme la vie.
On n’est pas égaux dans la souffrance,
Des méprises parfois nous en faisons.
Ta rancœur contre la vie te brûle.
Sans amour, est ce que tu respires ?
Mes paroles dérangent ton univers,
Tu perds le discernement sans amour.
abaisse tes larmes, rends-toi,
laisse couler tes ondes de pleurs,
je te ressemble, j’en tremble
J’ai peur, je fais le premier pas,
crois en moi, crois en nous, une fois.
Je serai le repère qui fait défaut,
Indélébile comme l’encre de sang,
sur ce parchemin de-là vie.
Comme la première étincelle.
Jean louis
2008
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