A regarder la vie.
La farandole de nos amours,
L'entrechat de nos ébats,
La ronde des baisers,
Sont une musique d'enlacement.
Notes d’ivresse de nuit bleues,
Que si amoureusement, tu pianotes
Au touché de mes berges blanches.
Frissons qui enivrent nos vents du désir.
La houle fait valser nos cœurs,
Les voiles gonflées d'espoir d'une rive,
D’un port, ou se poser, de nos désirs,
Épuiser par les caresses de nos mains
Requiem de lune fredonné tant de fois
Qu’en nos rêves, s’enfuient les jours gris.
Tu peins encore sur ma vie, tes sourires,
Qu’en radeau d’étoile, je croise ton ciel.
La mer assagie, apaisée, calme,
Laissant nos corps rassasiés, se reposer,
À l'approche du phare de la réalité,
Dans une explosion de baisers d'étoiles.
Et ce monde si bleu prit en tes errances
M’emporte habiter en tes rêves d’émoi.
Sur ma peau, nul chant n’est plus beau,
Que ce doux frisson qui soupire...
Jean louis
2008
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