L'aède.
Toi l’aède au cœur
éternel,
Toi lecteur des saisons,
Écris ce que ton cœur perçoit
Ce cœur si éthéré,
Qui n’a qu’une seule envie,
Chérir et être aimer.
La douceur de tes mots
Enivre ma méditation.
Ils vont régir mon cœur
Et me donne la convoitise d’exister
Croire encore à la tendresse.
Tant d’attachement et de douceur,
Arrive à raisonner mes pleurs.
J’avais déserté l’espoir, la vie.
Aujourd’hui je la dévisage
Et je lui souris pour toi.
Toi le troubadour, au cœur
Éternel, à me faire rêver
Et à faire renverser ma ferveur.
Jean louis
2007
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