Blessures.
Que reste-il de notre
union ?
Le temps semble être figé…
Je traîne mon désespoir en moi,
De tous ces moments vécus unis.
Au fil du temps, l’incompréhension,
La lassitude ont effacé tant d’années,
Tant de complicité, trop de souvenirs,
Qu’il n’en reste que des cernes de pleurs.
Où sont les
amis ? Les joies ?
Les regards se font soupçons…
L’entrain n’est plus sans toi,
Sans nous, sans la famille.
Plaisanter je continue,
sans âme.
Le fil de la vie apaise ma blessure,
Seul (le) sans aimer ton être de chair,
Je reste figé, évoquant les souvenirs détruits.
Jean louis
2007
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