déchirure
Dans
l'insouciance, ils sont heureux.
Jouant à des jeux d’enfants.
Ensemble ils étaient dans le bonheur,
De n’avoir que deux parents unis.
Brusquement, cris,
pleurs et mésententes,
Furent le quotidien dans la maison.
Retards de l’un, suspicions de l’autre.
Ils se déchirèrent pour des ont dit.
Ballotés par
l’un ou l’autre,
Les prenant à parti contre l’autre,
Ils ne savent plus ou ils doivent aller,
Qui dit la vérité ? Qui est sincère ?
Existe le temps d’une
vie heureuse.
Sous quel toit vais-je aller ?
Qui me cajolera dans mes blessures ?
L’un ou l’autre qui sera à mes cotés ?
Tout n’est que précipice
dans leurs mots.
Tout n’est que haine dans leurs regards.
Ma peine est entre deux êtres aimés,
Dans la brume d’un départ.
Jean louis
mai 2006
 |
 |
Retour à la
page des poèmes |
Accueil |
|