Deux.

 

J’effleure de ma tendresse un baiser volé
Sur les lèvres de ton cœur, elles se font caresses.
En joute voluptueuse, complice de nos ébats
Sur ta peau saveur d’automne, la senteur est délice.


Promène toi sur mon épaule, la sagesse y est.
Enlace tes bras, pose ta tête sur la douceur.
Mon visage, complice de tes regards,
tremblant de frissons que tu caresses.


A l’ombre de tes yeux, dans le flou irisé,
Vois le miroir de nos embrassades.
Nous ne faisons que des audaces complices
qui s’enlacent, se délacent à deux.


Rêves d’amour, dansant sous la lune.
L’amour à lovée nos baisers.
La nuit délicate donne le rythme des corps,
Cherchant en vain, l’union de deux lèvres.


Jean louis

fevrier-2006

Retour à la page des poèmes

Accueil