Comme la mer.

 

Comme la mer, tu es imprévisible,
Sereine, posée au bord du songe.
Déchaînée, volcanique, parfois mélancolique,
Qui berce mes caresses houleuses.

Comme la mer, tu es invincible,
Et bien que les vagues déferlent sans fin,
Tu n’es vaincue, affaiblie par le déchaînement,
Irrésistible de mes élans fougueux.

Comme la mer, tu es dangereuse,
Tu caches sous tes sentiments, sous ton voile,
La rage d’une lionne apeurée, affaiblie,
Des étreintes du combat langoureux renouvelé.

Jean louis

fevrier-2006

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