Un adieu.
Deux mains qui se séparent,
dans tes yeux des larmes,
contre les miens, la rosée. Se meure d'un revers
de la main.
Mon bonheur est mort en cet instant.
une nuit déferle contre nos coeurs.
Mais je me sens las.
je n'entends plus le murmure
de ta voix.
Les vagues effacent nos pas,
dans le sable, pour un long désespoir.
Tempête de l'âme,
ouragans de déchirures,
Les nuages grisaillent nos sentiments .
au loin je vois l'ncertitude.
Devant nous, division de nos chemins,
Entrelaçant notre séparation,
Sur les dunes de l'incompréhension.
Jean louis
09/04/2005
 |
 |
Retour à la
page des poèmes |
Accueil |
|