Paris…
A la vision de la tour Eiffel, je m’étonne longtemps,
Autour d’elle je reste pensif.
Mon regard avide, joyeusement plane
Sur sa structure, j’ère comme un oiseau.
Sur la place de la concorde que j’admire souvent.
Perdu parmi ses ornements, ses statues,
Comme un fantôme errant,
Avec la fantaisie en sublime joie et grand étonnement.
Je parcours les Champs Elysées, vers l’arc de triomphe,
Je m’approche joyeusement sous l’émotion
De mon cœur grisé à chaque instant.
A l’approche de son aspect serein,
Contemplant ces immenses arcades,
Ornées de sculptures, ces gravures artistiques
Qui embellissent sa parure,
Ou sont inscrites les glorieuses pages de l’histoire.
Les lieux célèbres, les dates inoubliables de victoires,
Les noms des grands soldats de l’Empire,
La date de leur dernier jour,
Pour l’éternité sont inscrit leurs exploits.
Devant l’inconnu où la flamme éternelle flamboie,
Je fais le signe que chacun lui doit.
Je monte par les escaliers de l’arc,
D’ou du haut de sa terrasse j’admire l’espace.
Je plonge mon regard vers les parcs,
Et je murmure les plus belles phrases.
Je m’étonne des douze avenues rayonnantes qui se confondent,
En une étoile comme de douces flèches harmonieuses.
Eteincelantes, et percent l’étendue baignée d’opale.
Ainsi va le rêve en lisant Paris,
Dans la douceur de mes promenades.
Jean louis
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